Tourisme.Tourisme History
Show minor edits - Show changes to markup
(:include Tourisme/Tadjourah:)
(:include Tourisme/AliSabieh:)
(:include Tourisme/Arta:)
(:include Tourisme/Dikhil:)
(:include Tourisme/Obock:)
(:include Tourisme/LesIles:)
(:include Tourisme/VieSousMarine:)
(:include Tourisme/InformationsGenerales:)
(:include Tourisme/InfosPratiques:)
(:include Tourisme/Djibouti:)
(:table width=730px:) (:cellnr align=center:) (:tableend:)
(:table width=730px:) (:cellnr align=center:) (:tableend:)
L’Office National du Tourisme de Djibouti (ONTD)
Directeur : Monsieur Mohamed Abdillahi Waïss
place du 27 juin - BP. 1938 - Djibouti
Tél : (253) 35 28 00 / 35 37 90
Fax : (253) 35 63 22
(:tableend:)
L’Office National du Tourisme de Djibouti (ONTD)\\
L’Office National du Tourisme de Djibouti (ONTD)\\
Fax : (253) 35 63 22
Fax : (253) 35 63 22
L’Office National du Tourisme de Djibouti (ONTD)
Directeur : Monsieur Mohamed Abdillahi Waïss
place du 27 juin - BP. 1938 - Djibouti
Tél : (253) 35 28 00 / 35 37 90
Fax : (253) 35 63 22
L’Office National du Tourisme de Djibouti (ONTD)
Directeur : Monsieur Mohamed Abdillahi Waïss
place du 27 juin - BP. 1938 - Djibouti
Tél : (253) 35 28 00 / 35 37 90
Fax : (253) 35 63 22
L’Office National du Tourisme de Djibouti (ONTD)
Directeur : Monsieur Mohamed Abdillahi Waïss
place du 27 juin - BP. 1938 - Djibouti
Tél : (253) 35 28 00 / 35 37 90
Fax : (253) 35 63 22
L’Office National du Tourisme de Djibouti (ONTD)
Directeur : Monsieur Mohamed Abdillahi Waïss
place du 27 juin - BP. 1938 - Djibouti
Tél : (253) 35 28 00 / 35 37 90
Fax : (253) 35 63 22
L’Office National du Tourisme de Djibouti (ONTD) Directeur : Monsieur Mohamed Abdillahi Waïss place du 27 juin - BP. 1938 - Djibouti Tél : (253) 35 28 00 / 35 37 90 - Fax : (253) 35 63 22
L’Office National du Tourisme de Djibouti (ONTD)
Directeur : Monsieur Mohamed Abdillahi Waïss
place du 27 juin - BP. 1938 - Djibouti
Tél : (253) 35 28 00 / 35 37 90
Fax : (253) 35 63 22
Une des contrées les plus fascinantes du continent africain, la République de Djibouti est une destination idéale pour l’écotourisme.
L’étrangeté grandiose et envoûtante de ses terres baignées par une mer fastueuse, ses traditions d’hospitalité, ses légendaires pasteurs nomades, et à présent ses équipements en constant développement ne peuvent qu’inciter le touriste et le voyageur, avides de beauté et de dépaysement, à s’y arrêter le temps nécessaire. Partout, le sport est à l’honneur : safari, plongée, sous-marine, pêche au gros, natation, ski nautique, voile char à voile, randonnée pédestre,…
L’intérêt d’un pareil voyage est multiple : purement touristique, avec la découverte de sites uniques au monde, paysages et curiosités naturelles qui alternent avec un égal bonheur ; mais aussi intérêt humain, grâce à une approche sans pareille des populations nomades, encore trop méconnues.
(:table border=0 cellspacing=0 width=730px:)
(:cellnr style='border-color:#dddddd; border-width:1px 0 0 0; border-style:dotted;':)
(:tableend:)
Des paysages uniques
(:table border=0 cellpadding=0 cellspacing=0 width=730px:)
(:cellnr:)
Le lac Assal est en effet une curiosité naturelle d’une grande beauté, dans un cadre de volcans et de laves noires, à 153rn au-dessous du vineau de la mer, bordé de banquises de sel et de gypse d’une éblouissante blancheur.
Tout près du lac s’élèvent plusieurs volcans, dont le plus récent, l’Ardoukoba, date seulement de novembre 1978, dans un paysage d’apocalypse absolument fantastique. Enfin, à quelques kilomètres de là, la vaste baie du Goubet-Al-Kharab, encerclée de falaises verticales, communique avec la mer par une passe étroite. C’est le fond du golfe de Tadjourah, dit « gouffre des démons ».
Une visite à la forêt du Day s’impose absolument. La piste serpente une quinzaine de Kilomètres sur le massif montagneux avant d’atteindre la forêt située à 1500 mètre d’altitude : des genévriers géants, des acacias, des oliviers sauvages, ainsi que des jujubiers et d’autres spécimens d’une flore rayée de la surface de la terre couvrent une superficie de 3,2 Km² que l’on a érigée en parc national. (:cell:)
Ne manquez surtout pas de visiter le Lac Abbé et ses paysages lunaires. C’est un décor insolite qui s’offre aux yeux du voyageur. Un paysage d’un monde fantastique avec ses centaines de cheminées calcaires, en formes d’aiguilles, de quelques mètres à plus de cinquante mètres de hauteur ; ici et là des sources d’eau chaude dont certaines bouillonnent, favorisant le développement de pâturages à nuls autres pareils en République de Djibouti.
Les amateurs de char à voile peuvent pratiquer au grand Bara, grande étendue désertique de vingt-cinq kilomètres de long sur plus de dix de large, leur sport favori, grâce à un centre installé sur place par l’Office du Tourisme et géré par une association sportive.
(:tableend:)
(:table border=0 cellspacing=0 width=730px:)
(:cellnr style='border-color:#dddddd; border-width:1px 0 0 0; border-style:dotted;':)
(:tableend:)
Djibouti féerie de la vie sous-marine
(:table border=0 cellpadding=0 cellspacing=0 width=730px:)
(:cellnr:)
Les côtes de la République de Djibouti sont bordées de récifs de type frangeant classique. On peut y observer toute la richesse et la diversité d’une faune et d’une flore propre aux récifs du vaste domaine indo-pacifique et de la Mer Rouge. L’isolement relatif du réticule que forme le golfe de Tadjourah a favorisé notamment la création et le développement d’un nombre encore imprécis d’espèces dites endémiques (qui n’existent nulle part ailleurs).
Sur le récif peu profond, on peut observer outre les magnifiques formations coralliennes aux arborescences délicates et colorées, l’évolution d’une vingtaine (au moins) d’espèces de chaetodons et de pomacanthes (poissons papillons et poissons anges) avec une particulière abondance de poissons « duc » (pygoplites diacanthus), le plus beau des poissons de coraux.
La ronde incessante des troupes de grands chirurgiens, liée à la perpétuelle agitation des labres et des bancs de perroquets verts et bleus au milieu de myriades de poissons demoiselles multicolores, contribuent à l’effet de grouillement que chacun peut admirer. (:cell:)
Parfois une carangue ornée de tâches d’or, curieuse et effrontée vient au devant du plongeur pour l’observer quelques instants avant de poursuivre son périple dans un paradis qui est son univers…Une invitation à la suivre.
Sur le sable blanc se repose l’extraordinaire petite raie dorée tachetée d’azur sous l’œil paisible d’un mérou se prélassant à l’ombre d’une très grande table d’Acropora.
Fréquemment sur le bord extérieur du récit maraude le grand seigneur, le requin à la nage puissant et élégant. Le plongeur n’est jamais inquiété hormis peut-être le chasseur auquel le maître des lieux peut chercher à ravir le fruit de sa pêche. Un gros livre ne suffirait pas à décrire l’exubérance de la vie qui fourmille au sein des récifs de la République de Djibouti, qui sont d’ores et déjà classés parmi les plus beaux joyaux du monde sous-marin tropical.
L’Office National du Tourisme de Djibouti (ONTD) Directeur : Monsieur Mohamed Abdillahi Waïss place du 27 juin - BP. 1938 - Djibouti Tél : (253) 35 28 00 / 35 37 90 - Fax : (253) 35 63 22
%bgcolor=#eeeeee
Fréquemment sur le bord extérieur du récit maraude le grand seigneur, le requin à la nage puissant et élégant. Le plongeur n’est jamais inquiété hormis peut-être le chasseur auquel le maître des lieux peut chercher à ravir le fruit de sa pêche. Un gros livre ne suffirait pas à décrire l’exubérance de la vie qui fourmille au sein des récifs de la République de Djibouti, qui sont d’ores et déjà classés parmi les plus beaux joyaux du monde sous-marin tropical. (:tableend:)%
Fréquemment sur le bord extérieur du récit maraude le grand seigneur, le requin à la nage puissant et élégant. Le plongeur n’est jamais inquiété hormis peut-être le chasseur auquel le maître des lieux peut chercher à ravir le fruit de sa pêche. Un gros livre ne suffirait pas à décrire l’exubérance de la vie qui fourmille au sein des récifs de la République de Djibouti, qui sont d’ores et déjà classés parmi les plus beaux joyaux du monde sous-marin tropical. (:tableend:)
%bgcolor=#eeeeee
(:tableend:)
(:tableend:)%
(:body bgcolor=#eeeeee:)
(:bodyend:)
(:body bgcolor=#eeeeee:)
bgcolor=#eeeeee
(:table border=0 cellpadding=0 cellspacing=0 width=730px:) (:cellnr:)
(:cell:)
Les amateurs de char à voile peuvent pratiquer au grand Bara, grande étendue désertique de vingt-cinq kilomètres de long sur plus de dix de large, leur sport favori, grâce à un centre installé sur place par l’Office du Tourisme et géré par une association sportive.\\
Les amateurs de char à voile peuvent pratiquer au grand Bara, grande étendue désertique de vingt-cinq kilomètres de long sur plus de dix de large, leur sport favori, grâce à un centre installé sur place par l’Office du Tourisme et géré par une association sportive. (:tableend:)
(:table border=0 cellpadding=0 cellspacing=0 width=730px:) (:cellnr:)
(:cell:) Attach:test banc.jpg
(:tableend:)
L’intérêt d’un pareil voyage est multiple : purement touristique, avec la découverte de sites uniques au monde, paysages et curiosités naturelles qui alternent avec un égal bonheur ; mais aussi intérêt humain, grâce à une approche sans pareille des populations nomades, encore trop méconnues.
L’intérêt d’un pareil voyage est multiple : purement touristique, avec la découverte de sites uniques au monde, paysages et curiosités naturelles qui alternent avec un égal bonheur ; mais aussi intérêt humain, grâce à une approche sans pareille des populations nomades, encore trop méconnues.\\
Les amateurs de char à voile peuvent pratiquer au grand Bara, grande étendue désertique de vingt-cinq kilomètres de long sur plus de dix de large, leur sport favori, grâce à un centre installé sur place par l’Office du Tourisme et géré par une association sportive.
Les amateurs de char à voile peuvent pratiquer au grand Bara, grande étendue désertique de vingt-cinq kilomètres de long sur plus de dix de large, leur sport favori, grâce à un centre installé sur place par l’Office du Tourisme et géré par une association sportive.\\
Des paysages uniques\\
(:table border=0 cellspacing=0 width=730px:) (:cellnr style='border-color:#dddddd; border-width:1px 0 0 0; border-style:dotted;':) (:tableend:)
Des paysages uniques
(:table border=0 cellspacing=0 width=730px:)
(:cellnr style='border-color:#dddddd; border-width:1px 0 0 0; border-style:dotted;':)
(:tableend:)
\\
Une des contrées les plus fascinantes du continent africain, la République de Djibouti est une destination idéale pour l’écotourisme.
(:table border=0 cellspacing=0 width=730px:)
(:cellnr style='border-color:#dddddd; border-width:1px 0 0 0; border-style:dotted;':)
(:tableend:)
L’étrangeté grandiose et envoûtante de ses terres baignées par une mer fastueuse, ses traditions d’hospitalité, ses légendaires pasteurs nomades, et à présent ses équipements en constant développement ne peuvent qu’inciter le touriste et le voyageur, avides de beauté et de dépaysement, à s’y arrêter le temps nécessaire.
Partout, le sport est à l’honneur : safari, plongée, sous-marine, pêche au gros, natation, ski nautique, voile char à voile, randonnée pédestre,…
L’intérêt d’un pareil voyage est multiple : purement touristique, avec la découverte de sites uniques au monde, paysages et curiosités naturelles qui alternent avec un égal bonheur ; mais aussi intérêt humain, grâce à une approche sans pareille des populations nomades, encore trop méconnues.
Des paysages uniques
Le lac Assal est en effet une curiosité naturelle d’une grande beauté, dans un cadre de volcans et de laves noires, à 153rn au-dessous du vineau de la mer, bordé de banquises de sel et de gypse d’une éblouissante blancheur.
Tout près du lac s’élèvent plusieurs volcans, dont le plus récent, l’Ardoukoba, date seulement de novembre 1978, dans un paysage d’apocalypse absolument fantastique. Enfin, à quelques kilomètres de là, la vaste baie du Goubet-Al-Kharab, encerclée de falaises verticales, communique avec la mer par une passe étroite. C’est le fond du golfe de Tadjourah, dit « gouffre des démons ».
Une visite à la forêt du Day s’impose absolument. La piste serpente une quinzaine de Kilomètres sur le massif montagneux avant d’atteindre la forêt située à 1500 mètre d’altitude : des genévriers géants, des acacias, des oliviers sauvages, ainsi que des jujubiers et d’autres spécimens d’une flore rayée de la surface de la terre couvrent une superficie de 3,2 Km² que l’on a érigée en parc national.
Ne manquez surtout pas de visiter le Lac Abbé et ses paysages lunaires. C’est un décor insolite qui s’offre aux yeux du voyageur. Un paysage d’un monde fantastique avec ses centaines de cheminées calcaires, en formes d’aiguilles, de quelques mètres à plus de cinquante mètres de hauteur ; ici et là des sources d’eau chaude dont certaines bouillonnent, favorisant le développement de pâturages à nuls autres pareils en République de Djibouti.
Les amateurs de char à voile peuvent pratiquer au grand Bara, grande étendue désertique de vingt-cinq kilomètres de long sur plus de dix de large, leur sport favori, grâce à un centre installé sur place par l’Office du Tourisme et géré par une association sportive.
Djibouti féerie de la vie sous-marine
Les côtes de la République de Djibouti sont bordées de récifs de type frangeant classique. On peut y observer toute la richesse et la diversité d’une faune et d’une flore propre aux récifs du vaste domaine indo-pacifique et de la Mer Rouge. L’isolement relatif du réticule que forme le golfe de Tadjourah a favorisé notamment la création et le développement d’un nombre encore imprécis d’espèces dites endémiques (qui n’existent nulle part ailleurs).
Sur le récif peu profond, on peut observer outre les magnifiques formations coralliennes aux arborescences délicates et colorées, l’évolution d’une vingtaine (au moins) d’espèces de chaetodons et de pomacanthes (poissons papillons et poissons anges) avec une particulière abondance de poissons « duc » (pygoplites diacanthus), le plus beau des poissons de coraux.
La ronde incessante des troupes de grands chirurgiens, liée à la perpétuelle agitation des labres et des bancs de perroquets verts et bleus au milieu de myriades de poissons demoiselles multicolores, contribuent à l’effet de grouillement que chacun peut admirer.
Parfois une carangue ornée de tâches d’or, curieuse et effrontée vient au devant du plongeur pour l’observer quelques instants avant de poursuivre son périple dans un paradis qui est son univers…Une invitation à la suivre.
Sur le sable blanc se repose l’extraordinaire petite raie dorée tachetée d’azur sous l’œil paisible d’un mérou se prélassant à l’ombre d’une très grande table d’Acropora.
Fréquemment sur le bord extérieur du récit maraude le grand seigneur, le requin à la nage puissant et élégant. Le plongeur n’est jamais inquiété hormis peut-être le chasseur auquel le maître des lieux peut chercher à ravir le fruit de sa pêche. Un gros livre ne suffirait pas à décrire l’exubérance de la vie qui fourmille au sein des récifs de la République de Djibouti, qui sont d’ores et déjà classés parmi les plus beaux joyaux du monde sous-marin tropical.